Enfin de la vrai tranquilité [PV Marishka]

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Sur le chemin de mon appartement Marshika s'excusa mais elle n'avait pas à s'excuser, elle ne pouvais pas savoir qu'à un moment de ma jeune vie je fusse marié. J'ouvris la porte de mon appartement, une fois dans l'entrée j'enleva mes chaussure par habitude. Les murs étaient peind de couleurs chaude et chaleureux, j'avais l'impression d'être dans un cocon douillet. J'avais accroché un peu partout dans l'appartement des tableaux que j'avais créé. La prièce principale était constituée d'un cuisine américaine très design, d'un salon accueillant et d'un salle à manger invité à venir la découvrir. Il y avait un petit couloir dans lequel je me dirigeais pour rejoindre ma chambre afin de mettre une tenue plus confortable. Dans le couloir décoré d'une façon très banale se trouvait trois porte : la première menait à la salle de bain, la deuxième à ma chambre et la dernière au WC. Une fois dans ma chambre j'enleva ma veste et mon gilet puis enfin déboutonna quelques bouton de ma chemise. Je fis vite afin de ne pas laisser Marshika toute seule.

- Alors la décoration vous plaît ?

Demandais-je curieux de savoir si ma décoration lui plaisée et si sa réponse était affirmative je serais heureux car cette décoration me donnait l'impression d'aller vers l'avenir et d'oublier le passé. J'allais dans la cuisine, sorti deux verres à pieds et plusieurs boissons, il y avait toute un gamme de jus de fruits, de sirop, et une bouteille de vin. Je préparé même un pichet d'eau en cas qu'elle veuille du sirop.

- Servez-vous, buvez ce que vous voulez !

L'invitais en lui présentant ce que je venais de poser sur le bar qui séparé le salon de la cuisine. Pendant qu'elle réfléchissait à se qu'elle allait prendre, enfin c'est ce que je pense, je me servis un verre de vin, même si ce n'était pas l'heure, mais seul le vin pouvait me détendre après avoir ressentit les émossions que je venais de ressentir. Après avoir remplis mon verre, j'allais m'assoir sur mon canapé pour profiter de la douceur et du gout exquis du vin.

Nous arrivâmes dans son appartement. Les couleurs étaient chaudes et chaleureuse. La cuisine américaine équipée aller à merveilles a l'idée de ce que je me faisais. La salle à manger et le salon étaient digne des plus grands décorateur. Au mur, on pouvait y voir de magnifique tableaux peints, digne des plus grands peintre. Une question me traversa l'esprit, mais je la ravalai pour plus tard. Kaname partit certainement dans sa chambre et revint sans sa veste. Je n'osai pas bouger tellement que l'appartement était tellement magnifique, j'avais peur que si je bougeai le moindre cils, j'allai salir cet appart digne d'un chateau. Il me demanda si a décoration me plaisait. J'en étais sans voix, autrement dit, elle me plaisait vraiment. Je secouai vigoureusement la tête en signe affirmatif. La beauté m'avait couper la voix et manger ma langue.

Le jeune homme alla dans la cuisine et me présenta différente boisson et me dit de me servir. Kaname prit un verre de vin. Je l'aurai imiter, mais les médicaments ne sont pas a prendre en même temps que l'alcool. Bon daccord ce n'était que des dolipranes mais il valait mieux éviter tout de même. Alors que Kaname alla s'asseoir dans le canapé, je me sevis du sirop de fraise mélanger a de l'eau, et j'allai le rejoindre. Je m'assis sur le canapé, trempé mes lèvres dans le délicap sirop de fraise et lui demandé :

C'est vous qui avait peint ces magnifique tableau ? Et la décoration est sublime

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Digne d'un chateau ! Je ne me doutais pas que la décoration de mon appartement faisait penser à ça ! Je souris, elle aimait ma décoration en plus elle était sans voix parce la déco lui plaisait énormément. J'étais heureux que cela lui plaise. Mon sourire s'agrandit lorsque j'entendis qu'elle voulait aussi prendre du vin mais elle n'osait pas à cause d'un médicament à prendre. C'est vrai que c'est dangereux de mélanger les médicaments et l'alcool, j'en ai fait les frais il y a quelque temps. Alors elle prit un simple sirop de fraise avec de l'eau puis vint s'assoir à mes côtés sur le canapé. Elle voulait savoir si j'étais l'auteur des tableaux.

- Oui c'est moi qui les ai réalisé mais ils sont un peu simpliste.

Répondis-je en disant la pur vérité car je les trouvé vraiment simpliste, trop basique. Je finis mon verre donc je me leva pour aller chercher la bouteille car me connaissant je viderais la bouteille en deux trois mouvement.
Je buvais, buvais, pourquoi d'ailleur ? Je mis un certain temps à trouver la réponse, c'était parce qu'involontairement Marshika m'avait fait rappeler le souvenir de ma défainte famille. Alors je buvais pour me faire oublier ce moment. La pauvre, elle va surement assister au moment où je serais soul donc le moment où je dirais que des anneries.
Sauf que c'était trop tard, je la regardais et bizarrement je la trouvait encore plus belle qu'il y a cinq minutes. De mais main droite je caressais sa joue droite, elle était douce, je ne voulais pas enlever ma main, je voulais continuer de toucher la douceur de sa peau. Pour une raison que j'ignore, je me rapprocha encore plus d'elle et posais ma tête dans le creux de son cou. Sa douceur de peau était adorable. Combien de temps cela fait-il que je n'est pas touché de peau aussi douce ? Je ne sais pas mais je restais là comme ça un bon moment, ma respiration était toujours régulière et son parfum était adorable, je ne pouvais me détacher de le douceur de son cou, de son parfum si doux. Alors je restais là, sans bouger, j'espère que je ne la gène pas.

Il me repondit que c'était bien lui l'auteur des tableau mais qu'il l'est trouvée simpliste. J'étais en desaccord dans ce cas avec lui. Je les trouvées absolument magnifique. Mais moi-même ne dessinant pas, c'était peut-être un avis d'amateur. Il se leva et alla cherchai la bouteille de vin qu'il avait commencée a ce servir. Il revint s'asseoir et planta son regard dans le mien. Je tenais toujours mon verre dans une main, tandis que l'autre restée sur mon genou. Nous continuâmes de nous regarder encore pendant un petit moment, quand il se rapprocha tout doucement et posa délicatement sa main sur la mienne. La rencontre avec sa peau me donna de délicat frissons partant du bas de dos, et remontant jusqu'au cou. Ces frissons ne me dérangèrent pas, tout comme sa main. J'aimais ce contact, mais je n'aurais su dire pourquoi. Ce jeune homme m'intriguait, mais cela était un sentiment tout a fait nouveau pour moi.

Il se rapprocha un peu plus de moi, et enfoui sa tête dans mon cou. De surprise, j'ouvris légérement la bouche. Je restai la sans bouger, dans la même position que celle du départ, je n'osai guère bouger, ne voulant pas rompre ce moment intime. Tout doucement je finis par poser mon menton sur ses cheveux. Je ne bougeai plus.

Je savais qu'au moment ou il s'éloignerai, un petit quelque chose se passerait dans mon coeur ... Mais quel était ce sentiments-la ?

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Elle aussi aimait mon contact sur sa peau. Elle ne bougeait pas, ne voulant pas rompre se petit moment tendre. J'entendis ses sentiments et cela me réchauffa le coeur. De ma main gauche je posais nos verre sur la table basse puis la posa délicatement sur sa joue gauche. Certes, j'étais soul mais j'avais pleinement conscience de mes gestes. Seulement, je ne pouvait me résoudre à m'éloigner d'elle. Je commençais par lui faire un bisous dans le cou timidement, puis un deuxième et un troisième. Je l'allongeais ur mon canapé et moi je continuais à lui faire des bisous dans le cou et je m'orrienta doucement vers son visage. Lentement mes lèvres entrèrent en contact avec les siennes et comme je m'y attendais ses lèvres était tout aussi douces. Je pressentais qu'elle ne comprenait pas se que je faisais et surtout pourquoi, mais je savais qu'elle aussi aimait sentir mon contact. Je ne voulait pas que nos corps soient éloignés, je voulais la sentir près de moi cependant, le voulait-elle aussi ?
Je quittais un instant ses douces lèvres pour la regarder. Voulait-elle que j'arrête de lui faire des bisous dans son cou et sur ses lèvres ou voulait-elle que je continu ? Je cherchais une réponse dans son regard mais je ne pouvais attendre plus longtemps. Je ne sais pas se que je voulais, faire la même erreur que la dernière fois mais cette fois-ci en faisant attention ou est-ce que j'abandonnais l'envie d'aimer quelqu'un ? Allait-elle me donner ma réponse ?

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