Du calme c'est bien mais pas tout le temps......[libre]

Invité

Les mains dans les poches de pantalon, je déambuler dans les couloirs bruyant pour certain et calme pour d'autre. Je voulais atténuer un peu mes migraines même si dans une académie c'était un peu impossible. Deux sortes de voix se mélangés autour de moi, la première est ceux qui parlent comme tout le monde et la deuxième c'est dans ma tête. J'entendais tout, tout ce que les élèves, professeurs et autres pensent. Au début, cela me déranger d'entendre ce que les autres pensés mais au fil des années, cette capacité m'était utile pour prendre mes élèves en flagrant délit de tricherie ou lorsqu'ils étaient en train d'utiliser leur portable en cours. Mais maintenant, il ne me sert pas vraiment enfin il me sert à étancher ma soif de curiosité. Une curiosité qui s'étanche silencieusement puisque je n'ai besoin que d'écouter se que les autres ne disent pas. Cette pensée me fit sourire, personne dans cette académie ou presque je pense sait que je lis dans les pensées.
J'arrivais dans un couloir relativement apaisant, avec aucune pensées autour de moi, c'était le rêve. Je stoppais alors ma marche pour profiter de l'instant présent, qui je suis sur ne durera pas longtemps. Malheureusement, mon rêve prit fin quelques minutes plus tard lorsque j'entendis des pensées arriver non loin de moi. Je me concentrais alors pour essayer de deviner d'où provenait ce flot de pensées. Après une très bonne concentration, je savais d'où venait ce flot de paroles incessant. Il venait de derrière moi, mais je ne pouvais dire qui s'était, tout ce que je savais c'était que j'étais sur son chemin.

Cela faisait peu de temps que j'étais a l'académie. Aprés la mort de ma famille, mon oncle m'avait "receuilli" chez lui. Je n'avais été guère heureuse. Il y a deux semaines un coup de trop est partit, et j'avais décidée de fuir loin de cette ville, loin de lui, loin du mal qui me faisait. Je n'avais pas d'idée en tête, quant a la question de l'endroit ou j'allais vivre, ou comment je pouvais faire pour survivre sans aucun point de départ. Jusqu'a temps que je rencontre Anthony. Ce jeune homme était au courant de mon don. Je ne sais pas du tout comme il l'a su, mais nous nous sommes rencontrées le lendemain de ma fuite, et m'as parlée de cette académie. Ensemble nous avions décidés de nous rendre dans cette école spécialement pour les notres.Depuis, je ne l'avais pas revue et me demandée ou il était. J'avais beau chercher partout, je le trouvais pas. J'espérais au moins qu'il allait bien.

Je venais de sortir de la bibliothèque charger de plusieur bouquin dans les mains. Nous étions vendredi soir, je venais de terminai les quelque devoirs que j'avais et je me dirigeai a présent vers ma chambre pour bouquiner et reviser un peu. Je n'avais rien d'autre a faire, ne connaissant personne. J'aurai aimée connaitr quelque personne, mais je n'osais pas aller a eux. Je soupirai. La blessure que j'avais a la côtes droite ne s'était pas entièrement refermée, et continuai de m'élançai par moment. Je poussais un nouveau soupire gardant les yeux baisser et gardant tout ce que je pensais et ressentait pour moi.

Je m'engageai dans un couloir, ou le brouhaha était bien moins dense, même quasi inexistante. Il y a avait bien une personne un peu plus loin. Un homme avec un pantalon et une veste blanche, et une chemise noire. Arrivant a sa hauteur, je lui fis un timide sourire et continuai mon chemin. Je gardai la tête asse et continuai ma marche. Je n'avais pas fait 5mètres, que je trébuchai et tomber. Mes livres s'étalèrent partout. Je me relevai peniblement et m'épousseta. Les joues en feu, a cause d'être tombée encore devant une personne que je ne connaissais pas et qui semblait être un prof. Je maugrai contre moi-même espérant que le bruit ne l'est pas dérangée. Je me baissai pour prendre un de mes livre, quand une autre main prit les devant ...

Invité

Une jolie jeune fille passa à mes côtés et me sourit timidement. Alors c'était à elle les pensées que j'avais perçus ! Même si elle avait sourit, je savais qu'elle était malheureuse. La perte de sa famille, le reget d'une personne qui appartient à notre famille, le fait de vouloir connaître plus de personnes dans l'académie. J'ai connu et je connais toujours cette tristesse et même si c'est dur aussi si dur que d'être de ce monde, je vis pleinement chaque instant car je sais qu'un jour je rejoindrais ceux qui ne sont plus de ce monde. 5 mètres nous séparait à peine qu'elle trébucha et tomba et ses livres étaient éparpillés sur le sol. Je me précipitais vers elle pour l'aider à ramasser ses livres. Elle avait les joues en feu de la honte d'être tombée devant une personne inconnu pour elle, ce qui tout a fait normal. Mais elle était surprise que je ramasse ses livres mais c'est une chose tout à fait normal qu'un homme aide une femme à se relever lorsqu'elle tébuche. Je l'aida à se relever en faisant attention à ce qu'elle ne tombe point de nouveau.

- Vous ne vous êtes pas fait point fait mal, mademoiselle ?

Demandais-je d'une voix douce pour ne pas l'effrayer. En plus de ma voix douce je la regardé tendrement, elle me faisait penser à ma femme par sa beauté et son sourire quand à sa maladresse je voyais ma fille. C'est la première fois depuis l'accident que je voyais une telle resemblance de ma femme et de ma fille chez une inconnue rencontrée par hasard dans les couloirs de l'académie. Mais c'était plus fort que moi, ma famille me manquait énormément.
J'attendais qu'elle me réponde, elle pouvait prendre le temps qui lui fallait pour me répondre mais tout ce que je voulais entendre dire c'est qu'elle ne s'était point fait mal.

- Je sais que vous êtes malheureuse et je l'ai vu dans votre regard quand vous êtes passée à côté de moi il n'y a pas deux minutes. Si vous voulais en parler, une épaule sur laquelle vous voulez pleurer, je serais là.

Ajoutais-je même si je savais qu'elle ne comprendrait pas de quoi je parlais et qu'elle refuserais mon aide. Même si dans son regard on voyait très clairement son manque de bonheur, de joie. Grâce à ma faculté de lire dans les pensées je savais pourquoivelle était malheureuse je ne pouvais m'empêcher de lui proposer mon aide malgré que moi aussi je sois malheureux. Cette fois ci je n'attendait pas de réponse, j'attendais autre chose de plus malsain mais une femme a toute plein de resource qui nous étonne toujours, nous les hommes.

L'homme qui était dans le couloir et que je venais de passer devant m'aida a me relever et me demanda si je ne m'étais pas fais mal. Je fus surprise par sa douceur, je n'étais pas habituer a ce qu'un adulte fasse preuve d'autant de douceur. Cela me prouvait que dans ce monde toute les personnes n'était pas aussi méchante que mon oncle. Je lui repondis avec un petit sourire sur les levres :

- Non sa va, merci, je vais bien, j'ai l'habitude.

Pendant un moment il sembla perdu dans ses pensées, repensant certainement a son passé. Il ajouta quelque paroles. Et je n'étais pas sur de ce qu'il parlait. Ma famille me manquait tellement que l'on pouvait le lire dans mes yeux ? J'essaierais de le cacher a présent, pour ne pas inquiéter les personnes qui m'entourait.

Je me baisser pour ramasser mes livres. Je préférais utiliser la méthode "normal" que mon don, sinon je serais capable de m'assomer toute seule. Je m'entrainai souvent dans ma chambre de l'académie a faire léviter les objets. Je l'avais toujours fait, même quand j'étais chez mon oncle, bien qu'a ce moment la, il était préférable que mon oncle ne me voit pas.

- Je vous remercie, c'est gentil de votre part. Vous êtes professeur ? Demandai-je en me relevant.

Il m'avait l'air assez mur pour être professeur et si c'était le cas, je me demandais bien quelle matières il enseignait, et quel était son don. Je m'abstenait de lui demander, pour ne pas être impolie. J'attendis sa reponse tandis que ma côtes droite commencait serieusement a me piquer...

Invité

Je sourit lorsqu'elle me dit qu'elle avait l'habitude mais j'étais rassuré qu'elle aille bien. Elle se baissa pour ramasser ses livres. J'écoutais ses pensées, c'était plus fort que moi lorsque je suis en compagnie d'une personne quelle soit élève, professeur et même le directeur. Ca m'arrivait de ne pas écouter les pensées des autres, seulement ça ne m'arrivait pas très souvent. Léviter des livres. Intéressants c'est la première fois que j'entend parler de ça. Elle me demanda si j'étais proffeur, après tout elle avait le droit. Et puis je n'ai pas vraiment l'âge d'être un élève.

- Oui je suis professeur, professeur de calligraphie.

Répondis-je mais je savais qu'elle voulait savoir quel était mon don. Je ne voulait le révéler à personne, je voulais qu'il le devine. Est-ce malsain de laisser deviner les autres ? Moi je trouve ça amusant car au fur et à mesure qu'ils réfléchissent, je sais exactement où ils en sont. Je voulais tenter l'expérience avec cette jolie demoiselle.

- Mon don ! Vous le devinerez toute seule, et puis il sera surement facile à deviner avec se que je viens de dire.

Lui dis-je en souriant car je venais de donner l'indice qui lui fallait pour deviner mon don. Ce qui me préoccuper en revanche à part qu'elle découvre mon c'était sa côtes droite qui la piquer.

- Par simple curiosité, qu'est-ce que vous vous êtes fait à votre côte droite ?

Demandais-je en donnant un nouvel indice sur mon don. De tout façon je me piège tout le temps donc cela ne sert pratiquement à rien de leur dire de deviner. Oulala je m'emmèle un peu les pinceaux là. Si je suis ma logique tout le monde peut deviner mon don puisque je me piège tout le temps en disant ce qu'ils ne m'ont point dit. Bon je reviens à mes moutons, elle devait surement se demander pourquoi je lui demandais ça mais j'espère surtout que se n'est pas grave sa démangeaison.

Ce jeune homme en face de moi était professeur de calligraphie. Quant a son don, il voulut que je le devine. Alors reflechissons. Il venait de me donner le titre de sa profession alors que je n'avais formuler la demander que dans ma tête. Serait-il possible qu'il soit télépathe ? Autrement dit, serait-il capable de lire dans les pensées ? Mais était-ce une pure coïncidence ? Dans ce cas, je faisais completement fausse route, en croyant qu'il était capable de lire dans les pensées. Il me sourit et je lui rendis son sourire, un petit sourire timide cependant.

Néanmoins, il confirma ma théorie quand il me demanda ce que j'avais a ma cotes droite. Et étant donnée que je n'avais parlée a personne de ce qui s'était passer avec mon oncle, et que j'y pensais, il y a peu de temps. Je luis fis un autre petit sourire et lui repondit :

- Oh rien, j'ai juste trebucher dans la forêt, rien de grave. Est-ce que je me trompe en pensant que votre don est de lire dans les pensées ?

J'avais vite fait de changer de sujet, sachant que si j'avais raison, et qu'il lisait bien dans les pensées, il saurait pour mon oncle, et a vrai dire, je ne voulais pas vraiment que l'on sache les humiliations que j'avais passer pendant cette période ma vie. Aussi je pensais a mes prochain cours, et essayant de ne pas penser a la brulure qui commencer doucement a me ravager.

Invité

Elle avait facilement deviné mon don. Normal puisque j'ai donné la réponse moi même. Elle ne voulait pas avoué que c'était son oncle qui était à l'origine de son problème à sa côte droite. Judicieux de sa part mais déraisonnable puisque je connaissais la vérité même si elle voulait mentir.

- A mon avis vous devriez aller voir un spécialiste pour votre côte, ce n'est pas raisonnable de rester avec une blessure pareil.

Dis-je pour essayer de la raisoner car c'est tout ce que je pouvais faire. La raisonner était mon seul moyen de l'amener à se faire soigner et donc à oublier son chagrin de femme meurtrit. Je ne pouvais pas, je ne voulais pas qu'une femme de plus soit meurtrit et ne fasse rien pour oublier se désastreux passage de sa vie qui lui offrira, j'en suis sur du bonheur.

-Vous n'avez pas le droit de souffrir, vous ne devez pas, pas vous, une aussi belle jeune fille comme vous ne mérite pas de souffrir le martir.

La suppliai-je, parce que je ne pouvais faire que ça, la supplier. Je ne voulais pas qu'elle souffre peut-être parce qu'elle me rappeler ma femme et ma fille. Je la regardais, mon regard devait lui aussi la supplier. Qu'est-ce que j epouvais faire d'autre, en plus de l'encourager à se soigner

.

- A mon avis vous devriez aller voir un spécialiste pour votre côte, ce n'est pas raisonnable de rester avec une blessure pareil. Vous n'avez pas le droit de souffrir, vous ne devez pas, pas vous, une aussi belle jeune fille comme vous ne mérite pas de souffrir le martir.

J'ignorais quoi pensez, mais ce qui était sure c'était que de sa part cela était trés gentil de s'inquiètait. Je me mordis la lèvre inférieur, dans un sens il avait raison. Je ne pouvais laisser cette blessure dans cet état, et d'aller voir un medecin. Je soupirai et lever les yeux vers lui :

- Je vous le promet. J'irai voir un medecin dans les plus bref délais. Mais vous ne m'avez pas repondue. Mon sourire s'élargit, Aurais-je raison sur votre don ?

Des que j'aurai terminer de ranger les livres que je portais dans ma chambre, je me promit interieurement d'aller voir un medecin. Je n'en connaissais aucun dans le coin, mais si je prenais une carte, et que j'allai en ville, je pense pouvoir être ne mesure d'en trouver un.

Je remarquais que je ne connaissais pas encore le nom du professeur, et j'espérais ne pas m'être entièrement trompée sur son don. A moins de lire dans le pensées ou de connaitre le passer, je ne voyais pas comment, il aurait pu savoir ma blessure.

Invité

Elle trouvait ça gentil que je m'inquiète pour elle mais à vrai dire c'est plus fort que moi, je m'inquiète toujours quand quelqu'un à un problème. Ca m'amusait, en revanche ce qui ne m'amusait pas c'est qu'elle attende d'avoir rangé sa chambre avant d'aller voir un médecin. Personnellement j'aurais fait l'inverse mais chacun à sa propre manière de faire les choses.

- Un conseil, allez voir la police pour porter plainte contre votre oncle pour maltraitance.

Lui conseillais-je et puis en y réfléchissant elle voulait peut-être entendre de ma bouche que je lisais effectivement dans les pensées des autres.

- Effectivement je lis dans les pensées des autres mais n'allez pas penser que c'est cool ou un autre synonyme du même genre car c'est tout l'inverse.

Fis-je avec une vois sur la défensive, je ne savais même pas pourquoi j'avais dit ça sur se ton. Je ne voulais pas l'effrayer certes mais je ne voulais pas l'entendre dire que mon don était cool. Même si il y a des gens qui me le diront et d'autre qui me diront que c'est un mauvaise sort que la vie m'a réservé.

- J'avais oublié, je me présente : Kuran Kaname ravie de faire votre connaissance mademoiselle, enchanté de faire votre rencontre.

Me présentais-je en lui souriant car j'étais ravi de faire sa rencontre.

Aller voir la police ? Non, je ne pouvais pas, j'avais bien trop peur de mon oncle pour même porter plainte. C'était une personne méchante, qui été déjà connue des services de police, et qui avait déjà fait plusieurs années de prison et s'en été échappés. A chaque fois il s'en tirait bien, avec de bons avocats. Du mauvais côtés, bien entendu. Si je portais plainte, ses avocats arriverait a me faire portait le chapeau, et mon oncle gagnerait encore, et me reprendrais, je ne pouvais le voir. J'en étais completement terrifiés.

J'étais encore tétanisées contre le fait pour porter plainte, que le jeune homme me confirma qu'il lisait bien dans les pensées. Cependant il me repondit que cela n'avait rien de cool. J'hochai la tête et lui repondit :

- Je comprends que cela n'as rien de cool. Vous pouvez entendre toutes les pensées, bien ou mal des gens, que cela soit a votre encontre ou pas, et puis si vous arrivez a bloquer les pensées encore sa peut aller, mais cela peut être trés bruyant. Je crois que ma mère avait le même don.

Je n'en étais pas sur cependant. Bien avant l'accident, quand je vivais encore avec mes parents et mon frère, ce dernier et moi-même avions tellement l'impression qu'elle épiait nos fait et geste, et qu'elle savait tout de nous, on en était rendus a nous demander si elle ne lisait pas dans les pensées.

Pour la première fois depuis un bon moment, je souris d'un sourire qui venait profondement, du fin fonds de mon coeur. Puis il me confia son nom. il s'appelait Kuran Kaname. C'était un joli nom, je trouvais. Je souris de plus belle et lui repondit :

- Marishka Lewis, ravi de faire votre connaissance.

Invité

Elle ne voulait pas aller la police à cause de ses problèmes familiaux. Elle fait se qu'elle désire en son âme est conscience. Et à ma grande surprise, elle me dit ce que je révais d'entendre. Elle aussi trouvé que ce n'était pas "cool", et elle me confia qu'elle coyait que sa mère possédais le même don. Elle pensait cela à cause de ses faits et gestes, et puis csi j'aurais étais à sa place j'aurais pensé la même chose. Marisha, un prénom à la hauteur de sa beauté.

- Vous aussi vous avez un joli prénom, Marishka.

Complimentais-je de ma voix la plus douce et séduisante. Pourquoi avais-je pris cette intonation, peut-être pour lui faire comprendre qu'avec moi elle ne risque rien et que ne lui veux aucun mal.

- Si on allait dans un endroit plus conviviale pour discuter ?

Demandais-je l'air de rien en remeetant les mains dans les poches, tout en la regardant tendrement.

(dsl c'est pourri ^^")

[mais non c'est trés bien ^^]

Kaname trouva que j'avais un joli prenom. J'avais plutot l'impression que ce prenom faisait ancien et du genre transylvanien ou dans ces eaux. Je lui souris. Puis il me demanda si on irait plutot dans un lieux plus coonviviale pour discuter. En effet, les couloirs n'était pas un lieux tres agreables. Je lui souris et répondis :

- J'accepte volontier. Vous avez un lieu en particulier a me proposer ?

Je me demandais bien quelle était le lieu qu'il allait choisir. Je me repassais en mémoire les différent lieux qu'il y avait dans l'acdemie. Mais étant la depuis peu, je ne connaissais guère d'endroit. Le parc m'avait l'air vaguement d'être un joli endroit. Mais je laissais le soin de choisir a Kaname, j'ignorais pourquoi m'ais je lui faisais une confiance absolue. Peut-être étais-ce du, a son coté si gentil et si doux.

Invité

Elle accepta ma proposition sans la moindre hésitation. Le seul soucis qui se présenté à nous c'est de trouver un lieu approprié. Comme elle ne connaissait pas beaucoup l'académie, de plus le parc me semblait aussi approprié pour discuter mais je n'avais pas envie d'y aller. En ce moment j'avais de rester dans des endroit clos, à l'abri comme dans un refuge, je n'avais pas envie pour le moment de croiser des élèves et/ou professeurs heureux. Je n'ai pas envie de les voir avec le grand sourire aux lèvres, content d'avoir quelqu'un dans leur vie. Étrangement elle me faisait confiance aveugle, à cause de mon côté doux et gentils. Un immense sourire se dessina sur mon visage car elle venait de me faire des compliments qui m'allaient droit au cœur. Je connaissais bien un endroit à lui proposer mais se serait un peu déplacer de lui proposer.

- Je connais bien un lieu en particularité à vous proposer......cependant......

Je laissais ma phrase en suspend parce cet endroit n'était pas vraiment accommodé pour une simple discutions comme la notre. Et puis je ne voulais pas qu'elle pense qu'il y ait un sous entendu dans le lieu auquel je pense. Je m'adossais contre les casiers puis la regarda dans les yeux, je ne pouvais pas lui proposer même si je le voulais, tans pis comme on dit qui ne tente rien n'a rien.

- Cependant.........je pense que ce n'est pas vraiment correcte qu'un professeur emmène une élève là-bas.

Cette fois-ci aussi je ne finis pas ma phrase même si on a l'impression du contraire. Je lui avait parlait tendrement, certes c'était une inconnue mais je ne pouvais que voir le mélange de ma femme et de ma fille chez elle.

Un

immense sourire se dessina sur ses lèvres. Lui avais-je fait plaisir, en pensant de lui de cette manière ? Je l'ignorais mais quoi qu'il en soit, c'était une pensées qui venait du fonds du coeur. Quand au lieu plus adéquat, pour parler il semblait hesiter. Il s'addossa contre les casiers, et sembla reflechir au meilleur moyen de me demander. Je le regardai d'un air tendre. Maintenant, que je faisais attention a son physique, j'avais l'impression de le connaitre. Pas de le connaitre dans cette existence, mais comme si je le connaissais bien avant que l'on se rencontre. Cela avait l'air completement fou. Mais ce pourrait-il que mon père ait raison quant au vie antérieur ? Je l'ignorais et je m'écartai du sujet.

Il reprit la parole, me disant que pour un professeur il pensait que ce n'étais pas correcte d'enmenner un élève la-bas. Je me demandais bien quel était le lieux auquel il pensait. De nature curieuse, je ne pouvais en faire autremen

t. Je lui repondit avec une sourire chaleureux :

-

Dites toujours. Et puis j'ai confiance en vous.

Invité

Tandis que je réfléchissais toujours comment lui dire, que je pensais l'emmener à mon appartement, ses pensées attirèrent mon attention. Elle avait l'impression de me connaître depuis toujours avant qu'on se rencontre ici pour la première fois, dans les couloirs de l'académie. Elle trouva l'expression que j'éprouvais quand je la regardais, je la connaissais aussi depuis toujours seulement on se rencontrer que maintenant.
Elle est curieuse de nature, ce qui m'amusais. Tout en souriant chaleureusement, elle m'encourageait à lui dire quel était ce lieu et elle avait confiance en moi. Étrangement moi aussi j'ai confiance en elle, une confiance aveugle.

- C'est.......mon........appartement.

Hésitais-je encore à lui dire, et quand je réussis à lire se fut avec une petite voix grave. Je n'osais pas vraiment lui avouer que je voulais l'emmener dans mon jardin secret. Tandis que j'attendais sa réponse, je la regardais encore dans les yeux toujours aussi tendrement. Je savais au fond de moi qu'elle allait accepter pour une raison que j'allais qu'une fois qu'elle m'aura dit qu'elle venait chez moi. Une petite peur grandit en moi, une peur qu'elle refuse, et si c'était le cas, je déprimerais car j'ai vraiment envie de la connaître.

J'attendis patiemment sa réponse. Et quand elle fut, il me le dit d'une voix presque timide, comme s'il no'sait pas me le dire. J'avais l'impression d'avoir un souvenir de lui bien avant que l'on se rencontre, mais je n'arrivais pas a mettre le doigt dessus. J'avais l'impression que plus je cherchais et plus cela me filait entre les doigts. C'était comme dans une rêve. Lorsque l'on rêve que l'on rêve. Au moment du reveil, on est dans le flou total. C'était sa, en ce moment. Je revins au moment présent et lui repondit :

- Oui bien sur ! Avec joie.

Invité

Elle ne parvenait pas à savoir où est-ce qu'elle avait eu ce souvenir de moi. J'entendis avec joie qu'elle acceptait devenir chez moi et en plus de ça elle m'offrait un beau sourire. Même si je ne sais pas vraiment de ce qu'on allait discuter et faire dans mon appartement, jétais heureux et je ne pus m'empêcher de faire un immense sourire. Mon sourire se transforma en un rire joyeux et harmonieux car elle commençait à s'imaginer comment était la décoration.

- Votre imagination est exellente, la décoration est presque comme vous venez de l'imaginer, mais ne vous inquiétez pas je suis sur qu'elle vous plaira.

Dis-je en essayant de calmant mes rires, et ils s'estompèrent quelques minutes plus tard. une fois le sérieux retrouvé, je me détachais des casiers et la regardais toujours dans les yeux. Je ne pouvais pas me détachais de son regard si charmant.

- On y va ?

Demandais-je même si je connais que très bien la réponse. C'est pour cela que je commençais à me dirigeais vers la sortie des couloirs pour pouvoir rejoindre mon chez moi. Je ne tournais pas la tête pour voir si elle me suivait car je le savais très bien elle était sur mes talons, je sentais sa présence près de moi. J'aimais cette sensation, elle me rassurait.

Il rigola et je ne pus

m'empêcher de joigner mes rires aux siens, tellement que ce son était si merveilleux. Il me raconta que je n'étais pas loin du but en pensant a sa décoration. Si je n'étais pas loin signifiait aussi que je me trompais un peu. J'imaginais ainsi d'autre décoration possible dans le même style, jusqu'as ce qu'il se détache des casiers, me regardant toujours dans les yeux m'entraina ainsi dans son appartement. Il partit, et je le suivis sur sans aucune hésitations sur ces talons.

J'avais une question qui me turlipinait l'esprit. En même temps, je n'osais pas la posait, pensant que c'était indiscret. Cependant, il devait certainement l'avoir deviné lisant ainsi dans mes pensées. Je regardais son visage, il était neutre. J'espérais ne pas l'offenser en posant une pareille question. D'une voix timide, hésitante, je la posai à voix haute :

- Est-ce que ... Est-ce que ... vous êtes mariés ?

Invité

On marchait tranquillement dans le couloir, et j'écoutais ses pensées. Elle voulait me demander quelque chose mais elle n'osait pas de crainte de m'offenser. Malheureusement je ne voyais pas de quoi elle voulait parler. Hésitante à son tour, et d'une voix timide elle me posa finalement sa question. Elle voulait savoir si je suis marié. En entendant cette question, je m'arrêta net, sans prévenir et je baissais légèrement la tête. Je voulais faire disparaître ses souvenirs de ma mémoire, mais je ne pouvais pas, cela faisait partie de ma vie, de mon passé. Pour répondre à sa question, je ne bougeais pas, je lui tournais le dos pour éviter à quel point ce sujet était douloureux pour moi.

- Était....

Seul ce mot sortit de ma bouche, d'une voix triste, laissant comprendre que c'était difficile pour moi d'en parler. De plus je ne voulais pas qu'elle me demande plus de détail, parce que e savais très bien qu'émotionnellement se serait dur, très dur. Avant qu'elle ne réagisse, ou qu'elle pense à quelque chose, je repris ma marche mais cette fois-ci, j'allais un peu plus vite toujours tête baissée.

[ dsl du temps de réponse ]

Nous marchions tranquilement avant que j'énnonce ma question. Evidemment, j'aurai du me taire. Il s'arrêta net. J'aurais du me douter, que la question était offensante, mais alros que je croyais l'avoir offencer, il me répondit d'une voix triste qu'il était mariée. Je remarquai l'emplois de l'imparfait. Il n'ajouta rien et me tournai le dos. Quelle idiote de faisais ! Je n'aurais jamais du lui poser une tel question. Je m'empressai de m'excuser d'une voix timide, tandis que mes joues étaient en feu :

-

Je suis désolé

Il reprit sa marche légérement plus vite et la tête baissée. Décidemment j'étais une vrai gaffeuse...

Invité

A suivre dans l'appartement de Kaname Kuran !

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